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Communiqué de presse
21 déc 2018
Un programme collaboratif français mené par des médecins regroupés au sein de l’AP-HP à l’hôpital La Pitié-Salpêtrière et à l’hôpital Saint-Louis, associant des chercheurs de Sorbonne Université, de l’Université Paris Diderot de l’Inserm, de l’Inra met en évidence la présence d’anticorps circulants dirigés contre le microbiote intestinal. Les chercheurs montrent pour la première fois que le microbiote des sujets sains n’est pas tenu à l’écart des anticorps circulants dans le sang par la barrière intestinale. Bien au contraire, certains anticorps IgG du sang reconnaissent aussi bien le microbiote que les anticorps IgA digestifs. La réponse IgG est augmentée chez certains patients déficitaires en IgA, et ces IgG pourraient donc être utilisés dans le cadre de transfert passif d’anticorps au pouvoir anti-microbien renforcé.
27 nov 2018
Une étude européenne lève le voile sur la diversité des gènes de résistance aux antibiotiques présents dans les bactéries du microbiote intestinal. Des équipes des hôpitaux Beaujon et Bichat Claude-Bernard AP-HP, de l’Inra (MetaGenoPolis), de l’Institut Pasteur, de l’Inserm, des universités Paris Diderot et Paris-Saclay ont développé une nouvelle méthode bioinformatique de prédiction de fonction des gènes basée sur la structure tridimensionnelle des protéines qu’ils codent.
02 nov 2017
Une étude publiée dans la revue Science (publication avancée en ligne le 2 novembre 2017) par des chercheurs de Gustave Roussy, l’Inserm, l’Inra, l’AP-HP, IHU Méditerranée Infection et l’Université Paris-Sud démontre que la prise d’antibiotiques affecte l’efficacité d’un traitement par immunothérapie chez des patients atteints d’un cancer.
05 oct 2017
De l’impact majeur de l’étape d’extraction de l’ADN sur l’évaluation de la composition microbienne des échantillons de selles humaines.
23 mars 2017
Des chercheurs de l’Inra et leurs partenaires ont étudié chez l’animal les conséquences de la présence simultanée dans l’intestin d’un certain groupe de bactéries du microbiote et d’un contaminant alimentaire courant, le déoxynivalénol (DON). Ils montrent que la présence de cette mycotoxine renforce le caractère génotoxique des bactéries, c’est-à-dire augmente le nombre des cassures sur les brins d’ADN des cellules intestinales, phénomène pouvant conduire à l’apparition de cellules cancéreuses.
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