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Communiqué de presse
21 déc 2018
des chercheurs de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Inserm, l’Inra, le CNRS et l’Institut Weizmann des Sciences d’Israël, viennent de mettre en évidence chez la bactérie Listeria monocytogenes un mécanisme de résistance totalement inédit. En effet, en présence d’antibiotiques qui ciblent les ribosomes et bloquent la synthèse protéique, ces bactéries sont capables de scinder en deux leurs ribosomes afin de relancer la production de protéines. Un mécanisme rendu possible grâce à l’expression du gène hflXr.
Un programme collaboratif français mené par des médecins regroupés au sein de l’AP-HP à l’hôpital La Pitié-Salpêtrière et à l’hôpital Saint-Louis, associant des chercheurs de Sorbonne Université, de l’Université Paris Diderot de l’Inserm, de l’Inra met en évidence la présence d’anticorps circulants dirigés contre le microbiote intestinal. Les chercheurs montrent pour la première fois que le microbiote des sujets sains n’est pas tenu à l’écart des anticorps circulants dans le sang par la barrière intestinale. Bien au contraire, certains anticorps IgG du sang reconnaissent aussi bien le microbiote que les anticorps IgA digestifs. La réponse IgG est augmentée chez certains patients déficitaires en IgA, et ces IgG pourraient donc être utilisés dans le cadre de transfert passif d’anticorps au pouvoir anti-microbien renforcé.
27 nov 2018
Une étude européenne lève le voile sur la diversité des gènes de résistance aux antibiotiques présents dans les bactéries du microbiote intestinal. Des équipes des hôpitaux Beaujon et Bichat Claude-Bernard AP-HP, de l’Inra (MetaGenoPolis), de l’Institut Pasteur, de l’Inserm, des universités Paris Diderot et Paris-Saclay ont développé une nouvelle méthode bioinformatique de prédiction de fonction des gènes basée sur la structure tridimensionnelle des protéines qu’ils codent.
25 sept 2018
Grâce aux nouvelles technologies de synthèse et de séquençage de l’ADN, une équipe de chercheurs de l’Inra et de l’Université de Berkeley (Etats-Unis) a reprogrammé 244 000 séquences génétiques pour comprendre les impacts respectifs de différentes propriétés des gènes sur l’efficacité de leur propre traduction en protéines chez la bactérie modèle Escherichia Coli. Ces travaux, publiés dans la revue Nature Biotechnology le 24 septembre 2018, ont permis d’identifier des règles générales d’optimisation de l’expression protéique, une étape fondamentale pour la compréhension des systèmes vivants, et démontrent la possibilité de mettre en place de gigantesques plans expérimentaux à l’échelle moléculaire de l’ADN.
14 août 2018
Chez Bacillus cereus, bactérie pathogène pour l’homme, l’expression des gènes de virulence est synchronisée et repose sur la capacité des microorganismes à communiquer entre eux. Des chercheurs de l’Inra et leurs collègues israéliens ont conçu des peptides de synthèse capables d’inhiber le système de communication intercellulaire impliqué dans ce processus.
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