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Article
25 oct 2018
Le "MOOC Métabolomique : enjeux scientifiques et technologiques", élaboré par des chercheurs et enseignants-chercheurs de plusieurs instituts de recherche, dont l'Inra, est ouvert à tous sur Internet.
Communiqué de presse
25 sept 2018
Grâce aux nouvelles technologies de synthèse et de séquençage de l’ADN, une équipe de chercheurs de l’Inra et de l’Université de Berkeley (Etats-Unis) a reprogrammé 244 000 séquences génétiques pour comprendre les impacts respectifs de différentes propriétés des gènes sur l’efficacité de leur propre traduction en protéines chez la bactérie modèle Escherichia Coli. Ces travaux, publiés dans la revue Nature Biotechnology le 24 septembre 2018, ont permis d’identifier des règles générales d’optimisation de l’expression protéique, une étape fondamentale pour la compréhension des systèmes vivants, et démontrent la possibilité de mettre en place de gigantesques plans expérimentaux à l’échelle moléculaire de l’ADN.
23 août 2018
Intensifier la recherche sur l’impact des substances chimiques sur l’environnement et la santé est aujourd’hui nécessaire et urgent : ce point fait l’unanimité. Mais par quoi commencer ? Un article récemment publié dans la revue Environmental Toxicology and Chemistry propose des réponses à ces interrogations pour guider les politiques de recherche et de réglementation en Europe.
14 août 2018
Chez Bacillus cereus, bactérie pathogène pour l’homme, l’expression des gènes de virulence est synchronisée et repose sur la capacité des microorganismes à communiquer entre eux. Des chercheurs de l’Inra et leurs collègues israéliens ont conçu des peptides de synthèse capables d’inhiber le système de communication intercellulaire impliqué dans ce processus.
19 juil 2018
Une équipe de chercheurs de l’Inra, de Danone, de l’AP-HP, de l’Inserm et de Sorbonne Université vient de mettre en évidence, dans une étude préclinique in vivo, que les troubles métaboliques liés à un régime alimentaire riche en graisses sont aggravés par la prolifération d’une bactérie intestinale pro-inflammatoire, Bilophila wadsworthia qui contribue à détériorer la barrière intestinale. Ces effets sont atténués par une bactérie probiotique, Lactobacillus rhamnosus CNCM I-3690.
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