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Dès lundi 2 juillet 2018, l'Inra recrute 41 chercheurs confirmés |
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Transitions agricole, alimentaire, écologique ou énergétique sont aujourd’hui nécessaires pour permettre à nos sociétés de vivre mieux et de façon durable. Rejoindre l'Inra, c'est s'engager aux côtés des équipes d'un organisme de recherche finalisée unique au monde, qui, par sa couverture thématique et disciplinaire, a de nombreux atouts pour proposer des innovations de rupture et accompagner les transitions.
À partir du 2 juillet 2018, l'Institut propose à 41 directeurs de recherche (DR2) de venir renforcer ses équipes. Les recrutements se font sur projet et sont ouverts aux candidats qui, après plusieurs années d'expérience, maîtrisent la définition et la mise en œuvre de projets de recherche. En ligne ou sur papier, les candidatures sont attendues jusqu'au 3 septembre 2018. > plus d'informations, s'inscrire
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L'actualité des offres et opportunités d'intégrer les équipes de l'Inra. |
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À l'Inra, les chercheurs expriment leur créativité au sein de collectifs de recherche d'excellence, pour faire avancer les connaissances qui permettront de donner naissance à des applications concrètes et innovantes, utiles à la société. Du 2 juillet au 3 septembre 2018, l’Inra recrute par concours 41 chercheurs confirmés, ayant l’expérience de la définition et de la mise en œuvre de projets de recherche. Vous ne pouvez désormais plus vous inscrire.
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À travers un panel de plus de 50 disciplines scientifiques et de plus de 70 métiers, l'Inra propose des missions dans des domaines variés pour répondre aux grands enjeux du XXIe siècle : assurer une alimentation saine et de qualité, une agriculture compétitive et durable ainsi qu'un environnement préservé et valorisé. |
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C’est d’abord son appétit pour la biologie qui conduit Sophie Nicklaus aux sciences. Rapidement, elle se rend compte que l’alimentation sera son credo : « travailler sur la qualité des aliments du point de vue du consommateur m’intéressait. » Ce qui lui plait dans la recherche : « Tout ! » Il était une fois, une scientifique animée par le désir d’élucider ce qui régit nos choix de consommation alimentaire dès la petite enfance.
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Bleuets, coquelicots, chardons… Ces plantes qui colorent les champs sont aussi jolies à voir que problématiques pour l’agriculture, parfois même pour la santé. Depuis 25 ans, Bruno Chauvel s’attache à comprendre comment ces mauvaises herbes, ou adventices, poussent « comme du chiendent » et pourraient être contrôlées alors que l’utilisation des herbicides de synthèse tend à diminuer.
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Depuis plus de 28 ans, Emmanuelle Jacquin-Joly, directrice de recherche à l’Inra, n’a cessé de s’intéresser aux insectes et aux odeurs. Si le lien entre les deux est évident, puisque les insectes utilisent leur flair pour analyser leur environnement, se nourrir et se reproduire, le mélange peut être également détonnant lorsque les cultures ont à en pâtir !
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Quoi de commun entre les bactéries lactiques et les ravageurs de cultures ? Pas grand-chose pourrait-on dire spontanément ? Et bien détrompez-vous… Pour Jean-Claude Ogier, ingénieur au centre Inra Occitanie-Montpellier, c’est toute une carrière, ou presque, consacrée à la science et aux microorganismes !
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Son appétence pour les sciences animales et sa passion pour la montagne donnent du relief à la personnalité de Bruno Martin. « J’étais déterminé à concilier ces deux versants ! » Ce tracé de piste clair le conduit au métier d’ingénieur en production laitière dans les zones de montagne. Avec des ascensions marquantes, qui ont permis d’établir des associations entre pratiques d’élevage et qualité des fromages.
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Stella Césari, jeune chercheuse de l’Unité Mixte de Recherche de Biologie et Génétique des Interactions Plante-parasite (BGPI) de Montpellier reçoit la « New Phytologist Tansley Medal for Excellence in plant science 2017 ». La revue scientifique New Phytologist lui a décerné le 8 mars 2018 cette récompense pour ses travaux de recherche sur l’étude des récepteurs immunitaires intracellulaires des plantes et pour sa contribution à la découverte de domaines « leurres intégrés » dans des récepteurs immunitaires de plantes.
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Afin d'entretenir la dynamique d'excellence scientifique et poursuivre sa mission de formation à la recherche par la recherche, l'Inra encourage les échanges et la mobilité internationale des chercheurs vers ou depuis la France. |
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Une coopération scientifique entre L’université de Fort-Hare à Alice (Afrique du Sud) et l’Inra Auvergne-Rhône-Alpes
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Quatre priorités Inra pour « Horizon Europe »
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Le programme « Horizon Europe » succède en 2021 à l’actuel Programme cadre de recherche et d’innovation (« Horizon2020 »). Cette période clef de préparation représente une opportunité pour l’Inra de présenter ses priorités scientifiques dans le but de répondre aux Objectifs du Développement durable tout en renforçant l’attractivité de l’Institut et en contribuant au rayonnement des grands sites de la recherche agronomique française.
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Prochaine PAC : le soutien à l’innovation doit être renforcé et complété
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Pour rendre plus durables l’agriculture européenne, les systèmes agri-alimentaires et les espaces ruraux, l’innovation doit être un élément clé de la prochaine réforme de la politique agricole commune (PAC). Il faut renforcer les capacités de transformation, non seulement par l’innovation technologique, mais aussi en travaillant sur des enjeux de société par un dialogue renforcé avec l’ensemble des parties prenantes et en favorisant l’action des politiques publiques. Dans une analyse partagée, l’Inra et le WUR (Wageningen University and Research, Pays-Bas) soutiennent que le budget actuel de la PAC dédié à l’innovation est trop limité et doit au moins être doublé dans la prochaine période. Pour favoriser l’innovation en agriculture, la PAC doit aussi innover.
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Un verger pionnier avec moitié moins de pesticides
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Dans la Drôme, l’Inra et ses partenaires mènent depuis 2004 une expérimentation pionnière pour réduire l’utilisation des pesticides en vergers de pommiers. Dans les systèmes les plus économes en pesticides, la réduction atteint 50%.
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